Il a travaillé comme chef de projet pour le studio BK avec plusieurs réalisations pour Hermès, Musée Fabre Montpellier, KasikornBank China, Les Allumeurs de Rêves etc. Malo, aussi opère internationalement entre l’art visuel / numérique et a présenté son travail avec des institutions telles que : Gamma festival à Saint Petersbourg, Martin Gropius Bau à Berlin, Forte festival au Portugal, Gaîté Lyrique et Palais de Tokyo à Paris, De Brake Grond à Amsterdam, Metropolitan Pavilion à New York, Mirage festival et Nuits Sonores à Lyon, Stéréolux à Nantes etc.
Fortement influencé par les formes sonores avant-gardiste, Malo a une approche ouverte et inclusive qui collabore avec multiples musiciens sous forme de création audio visuel. Présenté sur scène et dans l’espace, son travail a accompagné des musiciens tels que Robert Henke, Murcof, Giovanni Mirabassi, Dasha Rush, Muqata’a et Saint Sadrill.
——
Live Visual Performance
Le travail de Malo s’attache à développer multiples esthétiques visuelles lors de ses lives à travers ses propres matières filmées et génératives. Son imagerie existe aussi bien pour créer un contexte visuel que développer une résonance avec la source sonore. Utilisant pour cela un langage aussi bien audio réactif qu’instinctif, le rendu s’attache à créer des lieux, objets et matières peu identifiable. La lumière, le geste humain ou mécanique viennent ensuite créer le mouvement semant aussi bien le doute, l’émotion que le malaise. Son travail de captation vidéo lui permet donc de développer un univers visuel de A à Z utilisant objet, structure, moteur, danseur et qui sera chaque fois différent d’un live à un autre. Cette capacité d’adaptation et reformulation lui permet de passer aisément du figuratif à l’abstrait, de la forme fondamentale à la narration. Utilisant nouveau et ancien médiums, les séquences de Malo sont composées aussi bien en amont qu’en direct avec caméra, verre, métaux, multiples sources de lumière dont la LED. Les directions de ses rendus finaux concernent de vastes portions de styles musicaux. Permettant aussi bien une approche scénographique que purement esthétique à travers un travail de composition digitale et générative. Le rendu final s’avère être un film éphémère où multiples calques se fondent à travers texture sans nom, geste calculé, distorsion et paysage.